Dans un seul cabinet basé en périphérie de nanterre, une acupunctrice pratiquait son art durant plus de dix ans dans une discrétion absolue. Les murs en propos pur, l’odeur d’huiles prédominantes et le silence régulier formaient l’écrin extraordinaire dans les séances journalierement. Jusqu’au date où, en plantant une aiguille au n
Le degré fée
Depuis huit ou 9 journées, les guidances ne dépendaient plus du regarder ni même de la position. Elles surgissaient notamment des éclairs silencieux, explorant l’esprit de l’acupunctrice sans aviser. Ce matin-là, dans ces conditions qu’elle buvait son thé en suivant la clarté traverser les stores de sa assemblée d’attente, une photo
Le humour des aiguilles
Depuis six ou sept jours, les prédictions ne dépendaient plus du masser ni même de la position. Elles surgissaient comme des éclairs silencieux, parcourant l’esprit de l’acupunctrice sans alerter. Ce matin-là, dès lors qu’elle buvait son thé en se mettant à la luminosité découvrir les stores de sa spectateurs d’attente, une photo
La la première pulsation
Depuis quelques occasions, les visions ne dépendaient plus du chatouiller ni même de la élocution. Elles surgissaient à savoir des éclairs silencieux, explorant l’esprit de l’acupunctrice sans aviser. Ce matin-là, alors qu’elle buvait son thé en se mettant à la luminosité parcourir les stores de sa galerie d’attente, un cliché lui
Les poussière de l’oracle
Dans les vastes steppes de Mongolie, où le vent chantait par les collines, un village unique vivait au rythme des traditions anciennes. Ici, les astres des ascendants guidaient encore les vivants, et les convoitises des bûchers rituels révélaient le futur à celle qui savaient décoder leurs symboles. Le chamane du village, gardien du mystère